N° 297 (juin 2022), Fictions
Il prononce quelques mots sur les différentes terrasses. J’étudie les résonances produites et les allitérations. Je désigne vaguement les choses de la main. Elle ouvre la porte et me regarde en riant. Je n’arrive pas à me souvenir de son nom. Je ne sais pas quel jour nous sommes. Je distribue aléatoirement les images. Est pensée sans application concrète. Les indications sont trop nombreuses. Je ne me souviens plus des paysages. Tout le monde retient sa respiration. Elle referme le portail derrière moi. Je lui demande de m’accompagner. L’analyse de la situation est fausse. Une femme me fait une réflexion. Je ne me souviens plus comment. Elle fait une déclaration d’amour. Je tente d’expliquer son attitude. Je ne sais pas si je dois m’arrêter. Des gens sont assis dans l’herbe. Il faut se concentrer sur l’image. Cette route ne me rappelle rien. Il y a toujours une perturbation. Il faut rajouter divers éléments. C’est entre le blanc et le rouge. On me dit qu’ils ne sont plus là. Elle dit : « Le paysage s’étale ». Je lui pose la main sur l’épaule. Je remarque les herbes hautes. Il effleure différentes surfaces. Je me désintéresse des objets. Nous augmentons la lumière. Je me souviens d’un voyage. Je sais que ce n’est pas vrai. J’essaie de ne pas y penser. Je me place non loin d’elle. Je ne sais plus ce que c’est. Il est trop tard pour partir. Je suis en train de réaliser. Le papier peint se décolle. Il relève le col de sa veste. Je lui demande d’arrêter. Ses gestes sont très sûrs. Je ne sais plus pourquoi. Les degrés sont inégaux. Je décide de disparaître. Je progresse lentement. Je tente de le raisonner. Je la laisse me dépasser. Je mesure les distances. Elle fait couler de l’eau. La lumière est parfaite. Un homme improvise. Je regarde le paysage. Je ne peux rien faire. J’énumère les noms. Je trouve une lettre. Il se dirige vers lui. J’ouvre un livre. Il est terrorisé. Je suis effrayé. Je la menace. Je disparais. Je traverse. Je refuse. J’essaie.