Il prononce quelques mots sur les dif­férentes ter­rass­es. J’étudie les réso­nances pro­duites et les allitéra­tions. Je désigne vague­ment les choses de la main. Elle ouvre la porte et me regarde en riant. Je n’arrive pas à me sou­venir de son nom. Je ne sais pas quel jour nous sommes. Je dis­tribue aléa­toire­ment les images. Est pen­sée sans appli­ca­tion con­crète. Les indi­ca­tions sont trop nom­breuses. Je ne me sou­viens plus des paysages. Tout le monde retient sa res­pi­ra­tion. Elle referme le por­tail der­rière moi. Je lui demande de m’accompagner. L’analyse de la sit­u­a­tion est fausse. Une femme me fait une réflex­ion. Je ne me sou­viens plus com­ment. Elle fait une déc­la­ra­tion d’amour. Je tente d’expliquer son atti­tude. Je ne sais pas si je dois m’arrêter. Des gens sont assis dans l’herbe. Il faut se con­cen­tr­er sur l’image. Cette route ne me rap­pelle rien. Il y a tou­jours une per­tur­ba­tion. Il faut rajouter divers élé­ments. C’est entre le blanc et le rouge. On me dit qu’ils ne sont plus là. Elle dit : « Le paysage s’étale ». Je lui pose la main sur l’épaule. Je remar­que les herbes hautes. Il effleure dif­férentes sur­faces. Je me dés­in­téresse des objets. Nous aug­men­tons la lumière. Je me sou­viens d’un voy­age. Je sais que ce n’est pas vrai. J’essaie de ne pas y penser. Je me place non loin d’elle. Je ne sais plus ce que c’est. Il est trop tard pour par­tir. Je suis en train de réalis­er. Le papi­er peint se décolle. Il relève le col de sa veste. Je lui demande d’arrêter. Ses gestes sont très sûrs. Je ne sais plus pourquoi. Les degrés sont iné­gaux. Je décide de dis­paraître. Je pro­gresse lente­ment. Je tente de le raison­ner. Je la laisse me dépass­er. Je mesure les dis­tances. Elle fait couler de l’eau. La lumière est par­faite. Un homme impro­vise. Je regarde le paysage. Je ne peux rien faire. J’énumère les noms. Je trou­ve une let­tre. Il se dirige vers lui. J’ouvre un livre. Il est ter­ror­isé. Je suis effrayé. Je la men­ace. Je dis­parais. Je tra­verse. Je refuse. J’essaie.