N° 263 (août 2019), Déviations perpétuelles
De sorte que ou, du moins, l’absence, peut être, n’est pas, mais réduction ou extinction, oubli seul qui la contient, ne tiendra à ce que, que comme à, que dans notre pensée et, cependant, l’exprime en présence d’une autre que nous nous trouvons, ne nous apparaît qu’après s’être diffusée, la modifie tout de même en déviations perpétuelles, que reste très peu, sinon la détermination, amène à imaginer un autre stratagème, pour découvrir ce que ne connaissait pas et qui n’apparaît que par, ne nous livre jamais qu’un seul aspect à la fois, relève de, dure, vit encore, et avec lui s’y profile, les multiplie, parallèlement à l’appel de moments équivalents, dans le bruit de, l’assourdissement, avec un pouvoir égal, dans la pesanteur, continue indéfiniment, finit par venir, de sorte que, impose des modalités différentes de l’idée, laquelle se trouve comme plus dispersée ou plus compacte, en modifie le caractère tout autant que les impressions qui lui étaient associées, dans la transformation progressive, les changements ou l’évocation de moments semblables, s’étendant en une réalité qui n’existe plus, est assimilable à des images sans consistance et revient alternativement, maintenant que, de même que ce qui l’inspire est absent, se concentre dans, n’existe plus que par fragments, se remplaçant l’un l’autre en dégradations successives, par des nuances indiscernables, contiguës, harmoniques et dégradées, autour de, comme en constante contradiction, par la différence de, n’ayant aucun lien véritable, puis s’estompe, devient comparable à, prend conscience que n’est qu’un fragment incomplet, dans la persistance de, par son interpolation fragmentée, irrégulière, supprimant les points de repère, dans le déroulement des phrases successives et dans la contiguïté de.