N° 322 (juillet 2024), L’indifférence
Est l’indifférence frontale, la ligne de fuite répétée, que glisse ou focalise sur en découpes géométriques, cassures fictives, halos sur, relations entre que composent les reflets en analogie d’un paysage dégradé, maculé où l’image veut être le probable de, le signe — son possible — dans l’imposition, alors, qu’au loin, s’interrompt, simule le continu, se recompose, se répète encore et encore dans l’instant, que la tonalité rompue amorce puis efface, passe le plus précisément à, s’étend du proche et du lointain en une succession de fragments, de résidus, d’occultations de coupures, reprise permanente des mêmes événements qui se déroulent immuables dans la suite de cadrages sur, la connexion des intervalles, leurs bégaiements en choses éparses, la singularité de chaque, dans ce qui apparaît, se précise, dans la somme donnée par les détails des surfaces, là ou au loin, dans la focalisation sur l’étendue, ce qui se tient là, dans l’écart, la suspension, la perte, l’oscillation où l’image est une équivalence approximative de la vision, la projection d’un double probable en l’idée, supposition abstraite instable, prolongée, basculement où le corps se retire, fiction d’un détachement vu au ralenti dans ce qui s’épuise, dans la trajectoire d’une énonciation, dans l’entropie générée par l’image même, l’image même de, sans que rien ne se produise sinon l’établissement d’un doute, le trouble dans l’absence tangible d’une permanence, l’impossibilité d’une proposition, d’un agencement, ou n’est plus qu’une séparation et une coexistence de trames superposées, le leurre qu’imagine.