Se perd en entrelacs, n’est plus que sur­face, suite de motifs, fleurs inin­ter­rompues, alors, qu’autour, les fig­ures ne sont que, dans la suite nar­ra­tive aux sur­faces aboutées, dans l’homogène de verts, ocres et bruns, reprise d’une même his­toire, tou­jours la même encore qu’ajoute com­plexe tout le jeu des obliques, développe, hor­i­zon­tal, la suite des vio­lences, de la guerre et la mort, que jouxte le partage médi­an, du juge­ment qu’effectue, que se pour­suit en alvéoles rem­plies, dans la suite des trau­mas, dans l’affrontement, le vrai, la vio­lence des com­bats, la lutte des corps, coups, tor­sions, cam­brures, gestes vifs, vigoureux, est réal­isme ultra de ce que fut sans doute en la sur­face com­prime. Dans la répéti­tion, en mêmes se reprend, accentue par décalage en dou­ble aligne­ment et reprise de motifs qu’entremêlent indis­tinct au jeu géométrique ocre rouge, noir et blanc, est plaisir orne­ment en con­tre­point tonal, dans l’étagement bleu blanc, que ponctue ou parsème, la suite des gestes pour nar­rer, édi­fi­er en rouge, jaune ou lilas, dans la foule, le grouille­ment, qu’ordonne en suites d’horizontales clos­es. La grâce s’ornemente de motifs répétés ou d’une ligne arabesque, reprend en symétrie, de l’axe ver­ti­cale, les tons et atti­tudes pour établir, ain­si, toute la chose comme abstraite. Dans le bleu sem­ble tou­jours, qu’à ocre domine, terre de Sienne ramène, ou la gamme qu’ordonne, quand sur­gis­sent rouge, bleu, jaune et que regarde en bas pour qu’éloigne du tré­pas. À qua­tre musi­ciens au pied du trône, à la robe, dans le regard vers le bleu con­stel­lé, l’excès flo­ral qu’est, dans le semis en un tapis mille­fleurs, dans bleu, jaune, bleu, est, et que parsè­ment floral.