Un parc, des arbres, quelques parsè­ment, à l’étang, dans sa coupe pro­pose, pense la répar­ti­tion, équili­bre de peu sur l’horizon, le plan, au ciel de bleu léger que mod­u­lent nuages en presque indis­tincts dans les strates mou­ton­nement ou en qua­si fumées vers l’horizon, le bas, au bosquet le plus dense et son arche que forme dans le som­bre étalé minéral, qua­si creux d’Étretat, à l’enroulement des cimes repris, écho mul­ti­ple, aux groupes d’arbres comme fig­ures en pleine dis­cus­sion, aux reflets à peine à la sur­face de l’eau que rien ne vient rid­er, sur­face miroir presque con­tre l’agitation vibrante de toutes celles du monde, à devant le plan d’eau, une stat­ue, fig­ure indis­tincte seule et, juste à ses pieds, deux fig­ures assis­es avec peut-être un chien, évo­quent homme et une femme, quand, sur l’autre rive, trois fig­ures se tien­nent, femme assise dans l’herbe, homme qui se penche vers elle, dans le geste d’offrande ou bien la mon­stra­tion du fruit de sa cueil­lette, des fleurs accu­mulées dans un tis­su, écharpe, à la femme qui s’est emparée d’une pour la met­tre en sa robe, juste entre ses seins et l’ovale blanc per­le de jambes et hanch­es sous robe com­mu­ni­quant à l’autre qui se trou­ve à côté, de dos, regar­dant peut-être vers, dans sa robe aux plis élec­trisés, per­tur­ba­tions partout des rythmes et des lignes, songeant peut-être ou fix­ant le loin­tain, fig­ure de pro­jec­tion comme absente à toutes choses, au plan d’herbe bien étale d’où sur­gis­sent quelques mottes très légère­ment fleuries jusqu’au bord dans le flou vaporeux, de tout le vaporeux qui enveloppe le monde, du pâle au presque éteint, à quelques accroches blanchâtres, ros­es et jaune cuiv­ré en un total mal­adif et poisseux.