Sur l’herbe recou­verte de givre, est comme une sidéra­tion, presque comme, comme la dif­férence importe, est comme le givre, le sol givré, les nappes non loin, ou nappes de brouil­lard s’élevant du, le soleil se lève, que me regarde, sais qu’idée d’un monde n’est pas, n’est comme se lev­ait le jour d’avant, encore avant, recom­mençant, serait sem­blable à celui qui était, dans le bosquet non loin, dans la mousse s’accumulant comme au début du tronc, dans le lichen sur, dans la branche cassée au sol, comme le cœur, l’écorce autour, le lichen sur, toutes sur­faces super­posées, disponibles, en cette branche cassée, en cette chose qui passe, d’abord, que regarde machi­nal, va se désagréger lente­ment jusqu’à n’être plus, comme cela, sans, mais qui est là, devant, juste parce que passe, attire le regard en, sans rien faire d’autre, tout autour, tout cela, du peu, pas grand-chose, presque rien, que sa posi­tion offre, devant ces choses qui, ou presque, et se pré­cip­i­tent vers, se répè­tent, partout, tout autour, que regarde quand même, dans l’espoir que quelque chose de moi, sans cesse, en per­ma­nence, tout le temps, se répètera encore, se pro­duira dans les choses à peu près, qui vont dis­paraître, que regarde, qu’est un frag­ment de son temps, éclair ou un temps dilaté, du pas­sage des choses, que se détachent un instant de la pen­sée vague, errante, qui un instant ne pense plus, ne repense, va repenser à, en juste mesure, ces­sant de s’absenter, sont là que regarde, pen­sant que, sur cette éten­due, sommes là, que s’arrête un instant, ne serait pas comme, totale­ment tourné vers l’extérieur sans être con­cerné par, dédié, entière­ment dédié à cela, pour con­serv­er tel quel ce dépôt dans sa dis­po­si­tion actuelle, indif­férent à.