N° 281 (février 2021), Se rappelle
De la modulation grise, des nuances à peine de gris sur, est l’étendue, fond étale, brises qui hébergent, se rappelle : « nuages, vapeurs, rayons, ombres portées, tombe à l’horizon, l’intersecte et disparaît ». Suppose une masse, gris blanc deviné par, se couvre de, se rappelle : « vapeur bleuâtre, vent, mousses flétries ». En gris vert fouillis à tâches vertes éparses en espaces abandonnés, se rappelle : « sur un tapis de primevères, sur un lit de feuilles séchées, sur une nappe de neige que brodait la trace des oiseaux ». À la trame régulière verticale d’un plus sombre à entrecroisements, résilles fines, se rappelle : « clairières, hautes fougères, champs de genêts et d’ajoncs, haies d’aubépines, de chèvrefeuille, de ronces, myrte et laurier-rose ». Au ras, en un mouvement permanent, écoulement constant de plaques, blanc contre maculations vert gris, se rappelle : « ces feuilles, ces fleurs, ces nuages, cette lumière, ce soleil, cette rivière ». Qu’est passage rapide de motifs en chevrons en parcours ondulés, s’élancent ensemble, se rabattent à la surface, remontent brusque, se rappelle : « cygnes et ramiers, corneilles dans la prairie de l’étang et leur perchée sur ». Frontal contre, dans l’épaisseur enchevêtré, barre verte, se rappelle : « qui tombent comme, qui se fanent comme, qui fuient comme, qui s’affaiblit comme, qui se refroidit comme, qui se glacent comme ». À surface stagnante immobilisé, vert réticulé, dispersé çà et là ou plus dense, qu’est l’ombre atténuée sur, se rappelle l’ondulation des ombres, le mouvement, le recouvrement soulignant le dessin demi-courbe. Répète : dispersion en poudroiement vers.