Regarde. De gris, de mou­ton­nements gris, gris som­bre. Est nuée grise. Que brouille, divise, met à dis­tance, s’intègre, se pour­suit latéral. De gauche à droite. De droite à gauche. Se sépar­ent. Enca­drent symétrique. Dans la clarté du jour. Le ciel dégrade vers blanc jusqu’au bout — l’horizon. Dans le silence qu’imagine. Se tient impas­si­ble, inex­pres­sif — nulle émo­tion vis­i­ble. S’inscrit dans la clarté. Tout autour de. Simule — n’est que dans l’accord. Se divise. S’inscrit. Détaille dans le déroule­ment latéral. Est lieu som­bre — on dit som­bre. Qu’imagine sa clô­ture, les fig­ures qui y sont. Som­bre. Dans la sim­plic­ité mon­u­men­tale, le dépouille­ment, désen­com­bré de tous détails, sont éclats blancs et bleus. Découpent formes et reliefs dans l’espace occulté — roches et collines, tail­lis, archi­tec­tures. Roches et collines surtout ou un parterre fleuri — excès orne­men­tal. Chaque sujet devient pré­texte. Chaque par­tie définit — bleus et rouges surtout. Est un tri­om­phe dans la ter­reur, une vision didac­tique, une allé­gorie de désas­tres. Dans la divi­sion juste, médi­ane implaca­ble sur bleu intense — nuit —, der­rière roches blanch­es dénudées don­nant sur crique ou baie. Qu’impose d’un geste à l’autre, d’une fig­ure à l’autre. Dans la nuit qu’était, main­tenant d’un bleu délavé — qu’est. À l’intérieur du cer­cle. Se dégrade juste avant que ne com­mence vrai­ment, que s’établisse. Est là. Est déjà là — nar­ra­tion obscure dont le sujet échappe. Est ciel jaune, mon­tagne bleue, sol bicol­ore ocre et brun. Dans le jardin qui cerne, der­rière un muret, arbres, arbustes. Dans l’entourage gracile d’arabesques, orne­ments, en quelques anno­ta­tions, fig­ures épars­es. Dans le vide tout autour. Sur le vide ne sont que. Dans le mou­ve­ment vers — les détails.