N° 310 (juillet 2023), La reprise

La sen­sa­tion donne le sen­ti­ment donne la pen­sée de, dans le mou­ve­ment cir­cu­laire à effectuer, le déplace­ment, repasse, tourne, repasse sur l’architecture, le glisse­ment vers, aux sons cen­sés mélan­col­iques, accentuent l’atmosphère, le cliché ciné­ma vespéral, dans l’écho, la réso­nance, qu’éloigne pro­gres­sif, tourne, tra­verse, est une aspi­ra­tion vers, que croise en évi­tant sac­cades, tourne, tra­verse, dans l’arrivée, le point d’attente que serait l’insignifiance délec­table, dans l’errance de, le vide, l’inoccupé, l’absence d’imago, la vacance d’elle dans tout vis­age aus­culté, est une inter­rup­tion, la reprise, dans la sen­sa­tion vent sur désert con­stru­it, courbes et arch­es à l’élancement mod­erniste, le lisse, le sans cou­ture, un noc­turne presque, tourne, tra­verse, en suites d’espaces moments, est une inter­rup­tion, la reprise, les mots ren­dus iné­couta­bles, le lan­gage adamique, la parole irrepérable, ce qui déjoue, rend dérisoire la maitrise, l’intimidation, la pose, la con­te­nance, est une inter­rup­tion, dans la reprise, la dérive, le sen­ti­ment du sol, du rebond sur bitume, de la pos­si­bil­ité d’un évanouisse­ment, en sen­sa­tion floue, voile, est une inter­rup­tion, la reprise, la présence saisie en un instant, figée, regar­dant, attra­pant, appelant à, vers, dans l’effroi, regarde inter­roge, est une inter­rup­tion, la reprise, le regard mono­mane, qui sait émou­voir, elle, au cen­tre des images qu’elle anni­hile d’un geste, chaste dénouant, est inter­rup­tion, la reprise, dans le trem­ble­ment du con­cert qu’inachève, est la dis­cré­tion, le principe de déli­catesse, tout ce qu’esquive, tou­jours sem­blable à elle, tout à elle, en elle, clair, trans­par­ent, léger, qui borne, non borné, toutes choses, tient toute matière en elle ou sur elle, close.