N° 319 (avril 2024), Pour le perpétuer
N’essaie pas réfléchit le repousse avec force que ne bouge ne se desserre d’être si différent toute ces années fissures qu’apparaissent commencent à reprend dans la dérive la foule dans le vêtement assiste ne bute y assiste toute nuit referme assez admet ce qu’il faut sa lumière qu’émerge du sol proclame l’ennui ayant l’envie de se taire sur lequel on peut lire la nullité négligeant arrive si jeune prétendant un à quoi bon généralisé le chant un émiettement à la demande le froid si ne peut se connecter la voix qui nouée refuse tandis qu’il jure de cette chose dont il ne sait rien totalement misérable qu’il affecte de se taire caprice qui s’amuse se souvient comme synthétise le brouillage tandis qu’embrasse encore une fois rien avant de mourir que monte s’ankylose s’amenuise est là calme ne remplit l’espace se disperse dans l’idée du rituel devient le devient dans la respiration alternative le geste vide dérisoire les cendres de proche en proche qu’il arrive le contact un rassemblement ciel caustique se vide et carcasse suspendue se meure se putréfie un os fixe dans chaque sous une autre déclinaison une préparation au désastre qu’aveugle retombe prend pied s’étend direction exorcise le mensonge pour le perpétuer.